L’actualité des fausses cartes grises et autres documents ne cesse de faire couler beaucoup d’encre et de salive dans les médias et les réseaux sociaux, incriminant ainsi la Direction générale des transports terrestres (DGTT) de falsifier ces documents.
Selon certaines sources, cette Direction générale ferait l’objet d’une manipulation à outrance et de malversation financière à ciel ouvert.
Le décret n°01113 portant création et organisation de Centre National d’Édition et de Délivrance des Documents afférents à la Circulation des Véhicules Terrestres à Moteur, dans son Chapitre 1er de la création et des attributions des cartes grises en son article 3 stipule que : «le Centre assure, sur toute l’étendue du territoire national, l’exclusivité de l’édition, de la délivrance et de la conservation des documents afférents à la circulation des véhicules terrestres à moteur».
Ces informations qui, selon une source sûr et proche du dossier, montre à suffisance que la Direction générale des transports terrestres ne serait nullement impliquée dans la mascarade des faux documents comme le prétendent certains.
Eu égard de ce qui précède, on est à même de se poser la question de savoir, qui en veut tant à la DGTT ?
Au regard de toutes ces informations, il est aisément expliqué que tout ce qui est dit contre la DGTT n’est que le résultat d’une pure machination dont le but premier est de vouloir ternir l’image de du patron de cette direction générale, en la personne de Monsieur Anatole Kabounou Onkoni.
Le service de délivrance de la carte grise et de l’immatriculation des véhicules automobiles est chargé de recevoir et d’examiner les dossiers de demande d’immatriculation, de les faire immatriculer, d’appliquer la législation d’immatriculation des véhicules, sous le contrôle d’un service du personnel administratif qualifié et titularisé par le ministère des Transports.
Il en ressort, selon nos sources, que la Direction générale des transports terrestres (DGTT) ne délivre pas de fausses cartes grises aux usagers.
Pour clore, la direction générale des transports terrestres ne se reconnaît pas dans l’affaire l’impliquant à un journaliste qui, selon certaines indiscrétions, fairait l’objet des menaces par un agent du B2.