Rachetons notre pays. Tel est l’objectif à atteindre pour lequel, l’homme de Dieu, Dr Révérend Désiré Mounanga, a formellement annoncé samed 18 juin dernier, son intention de se présenter aux prochaines élections présidentielles pour tenter de devenir le président de la République gabonaise.
Dans une conférence de presse qu’il a animé dans une salle de fête à Libreville, dans le 3e arrondissement, Dr. Révérend Désiré Mounanga, a espéré atteindre cet objectif à l’aide du parti politique l’Union pour le Progrès National (UPN).
« Je m’engage à me présenter comme candidat aux prochaines échéances présidentielles parce que je voudrai assurer à tous les jeunes gens de ce pays du travail et du travail en abondance » a-t-il déclaré devant les hommes des médias présents.
Il a révélé devant l’opinion que le Gabon est vendu à plus de 60% aux étrangers. « Je voudrai vous dire, rachetons notre pays. 65% de notre territoire est déjà vendu. Ça voudrait dire que même si tu as un titre foncier, tu n’es pas en sécurité.
Celui qui se croit propriétaire parce qu’il a un titre foncier officiel et qui vient du haut niveau pourrait à tout moment venir vous expulser. Même si vous en avez le vôtre faite par les petites administrations.»
« C’est une honte de voir Monsieur Lee White ministre dans notre pays. Et pas n’importe et pas n’importe et quel ministère. Monsieur Lee White sait que ça ne se passerait pas comme ça en Grande Bretagne. Pour ne citer que lui parmi tant d’autres. Alors qu’il ne sait même pas parler une langue », A martelé Mounanga.
L’homme de dieu a indiqué qu’une fois à la tête du pays tous les parlementaires doivent parler une langue. Et que toutes les ethnies du Gabon sans discrimination aucune seront représentées au parlement du Gabon. Aucune langue ne sera plus représentative que les autres car, selon lui toutes les ethnies du pays se valent.
Le Dr. Révérend Désiré Mounanga a expliqué à travers son programme politique intitulé, Nouvel ordre national (NON), lui permettra de mettre fin à cette démocratie de terreur et cette politique d’intimidations qui selon lui, freinent le développement du Gabon depuis plus de 60 ans de son indépendance.
« Le Non, c’est le refus de toutes les injustices sociales. Le Non, c’est le refus de brader nos richesses. Le Non, c’est le refus de laisser n’importe qui venir nous imposer sa loi, etc », a soutenu le pasteur Mounanga avec vivacité et abnégation.
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