Chargé par le camarade secrétaire général du parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir), Steeve Nzegho Dieko, le délégué national de l’Union du parti démocratique gabonais (UJPDG), Axel Jesson Denis Ayenoue, a entamé une série de sortie de terrain dans les quartiers sous-intégrés de la commune d’Owendo. Objectif, prendre langue avec les populations quant aux élections générales d’août 2023 à venir.

Débuté il y a seulement quelques jours dans la capitale gabonaise, le délégué national de l’UJPDG, Axel Jesson Denis Ayenoue, a indiqué que ces sorties de terrain dans le grand Libreville, s’inscrit dans le plan d’actions de la pré-campagne électorales en vue de l’élection générale du 26 août prochain. Une première dans l’histoire de pays, organiser les présidentielles, législatives et locales dans l’ensemble du territoire national.
« Le Distingué camarade président (DCP) a demandé au camarade secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG) de poursuivre les actions de terrain. Et, le camarade secrétaire général dans son programme d’actions avant la campagne a bien voulu que l’Union des jeunes du parti démocratique gabonais puisse déjà commencer un porte à porte auprès d’un certain nombre de familles afin de passer quelques messages que nous a délivré le DCP a l’endroit de ses populations », A laissé entendre Axel Jesson Denis Ayenoue lors d’un entretien avec la presse locale.

Le décor étant planté, Axel Jesson Denis Ayenoue a livré le message d’amour dans un esprit patriotique. Occasion pour lui de parler aussi de son patron, le Chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba, candidat à l’élection présidentielle du 26 août prochain avant de dénoncer l’instrumentalisation de jeunes par les hommes politiques. Dans un langage franc, le délégué national de l’UJPDG Axel appelé communément l’enfant de proximité, a su convaincre ses compatriotes, avant de fixer un rendez-vous très prochainement.
« Aujourd’hui ce n’est pas un jour de meeting ou de causerie politique, le délégué national de l’UJPDG Axel Jesson Denis Ayenoue qui est notre fils a dit, aux responsables de familles que nous sommes qu’il est venu nous voir pour échanger et partager ensemble quelques problèmes dont sont souvent victimes les populations des quartiers très reculés. Il nous a écoutés et nous sommes convaincus qu’il nous reviendra, contrairement à certains compatriotes qui viennent nous voir seulement quand il s’agit d’une élection », a lancé un autochtone du quartier Soumeya derrière la pédiatrie d’Owendo.


Avant d’ajouter et ce, pour conclure « ça été un moment d’échanges, de partage et de communion entre l’homme politique et les populations ont été sensibilisées sur les notions d’unité et de cohésion nationale ».
Mav