Le parti politique Rassemblement des Patriotes Républicains ( RPR) de l’ancien premier ministre d’Omar Bongo Ondimba, Jean François Ntoutoum-Émane, s’est doté d’un nouveau siège flambant neuf à Lalala dans le 5ème arrondissement de Libreville.
Les militants et sympathisants du RPR ont désormais un siège officiel dans la capitale gabonaise. L’inauguration du siège
est intervenue, le samedi 06 août 2022, par l’autorité morale de ce parti dit de l’opposition, le patriote Jean François Ntoutoume-Émane.

Ce siège pour les militants du parti
sera un cadre d’échanges et de réflexions
entre fils et filles du Gabon sur les
questions de développement. Les populations, vieux, jeunes et femmes du parti n’ont pas caché leur joie au président du parti venu inaugurer ce qui servira désormais de cadre de rencontre pour eux.
Les nouveaux locaux qui servent de bureau comportent en plus du bureau du président, un bureau de son secrétaire général nouvellement installé, une salle des conférences, la direction de la communication et une salle de réunion.

« Nous sommes doublement satisfaits de l’inauguration du siège du parti et de
l’installation du nouveau secrétaire général charismatique », s’est réjouie Christine, militante du parti depuis sa création en 2018, promettant de travailler pour la victoire du parti si celui-ci sollicite les suffrages des populations aux échéances électorales à venir car convaincue que « le meilleur reste à venir».
Même sentiment de satisfaction pour le
responsable des jeunes du RPR, Obiang. « Ce local nous permettra de bien travailler pour que le parti aille de l’avant et
pour aussi mettre en branle les missions du parti », a laissé entendre Antoine. De quoi rassurer les responsables du RPR.

Jean François Ntoutoume-Émane qui installait officiellement le nouveau secrétaire général de sa formation politique a affirmé travailler pour “la prise en compte de manière permanente des intérêts des minorités, en vue de l’instauration d’une société équilibrée, fondée sur le respect des droits fondamentaux de l’homme et du citoyen”.
Aimé Serge BOULINGUI